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Le jour où je me suis emparé de la langue française, j'ai perdu le japonais pour toujours dans sa pureté originelle. Ma langue d'origine a perdu son statut de langue d'origine. J'ai appris à parler comme un étranger dans ma propre langue. Mon errance entre les deux langues a commencé. Je ne suis donc ni japonais ni français. Je ne cesse finalement de me rendre étranger à moi-même dans les deux la...(Lire la suite)

Pourquoi Kamo doit-il apprendre l'anglais en trois mois ? Qui est donc Cathy, sa mystérieuse correspondante de l'agence Babel ? Se moque-t-elle de lui ? Est-elle folle ? Est-ce lui qui devient fou ? Et les autres correspondants de l'agence, sont-ils fous eux aussi ? Qui est l'étrange petite vieille qui semble régner sur tout ce monde ? Pas de doute, une enquête s'impose : il faut sauver Kamo ! Ka...(Lire la suite)

Kamo se retrouve dans la peau d'un de ces ancêtres échappé d'un camp en Sibérie. Parviendra-t-il à traverser le grand désert de neige ?

Tu es content de toi, Kamo ? Ton idée géniale, tu trouves vraiment que c'était l'idée du siècle ? Alors, pourquoi a-t-elle rendu M. Margerelle, notre Instit' Bien Aimé, fou comme une bille de mercure ? Tu peux nous le dire ? Ta fameuse idée, Kamo, tu ne crois pas que c'était la gaffe du siècle ? La bêtise du siècle ? Tu as vu dans quel état est notre Instit' Bien Aimé ? Et maintenant, qu'est-ce q...(Lire la suite)

L'affreuse / Ariel Crozon ; préface de Daniel Pennac

Éditeur : Éditions Autrement,

A 49 ans, Ariel Crozon entame le journal de sa vie désormais "frêle et précaire" : elle est atteinte de la maladie de Charcot. Mais ici, pas d'apitoiement. Sous sa plume, sa maladie est surnommée L'Affreuse, l'hôpital s'appelle Sancoeur et son médecin est une célèbre actrice anglaise... Car chez Ariel, le rire l'emportera toujours sur les larmes. L'Affreuse n'est autre que le souffle de vie d'une...(Lire la suite)

3 novembre 1949. Les livres me sont bien parvenus, le Stevenson est tellement beau qu'il fait honte à mes étagères bricolées avec des caisses à oranges. Moi qui ai toujours eu l'habitude du papier trop blanc et des couvertures raides et cartonnées des livres américains, je ne savais pas que toucher un livre pouvait donner autant de joie.