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Moscou, 1889. Anton Tchekhov a vingt-neuf ans, Lydia Mizinova dix-neuf. Il est célèbre, elle est d'une beauté qu'on dit sublime. D'abord amants puis amis, ils entretinrent toute leur vie un jeu de séduction épistolaire fait de reproches, d'humour et de mots tendres. L'un et l'autre voyagèrent beaucoup, notamment à Paris où Lydia vécut et fut enterrée. Non sans rappeler l'oeuvre même de Tchekhov, ...(Lire la suite)

Un monde entier se dévoile à nous dans cette oeuvre, une image symbolique de la société russe que Iegorouchka traverse sans la comprendre, avec ses hiérarchies, ses coutumes, ses secrètes métamorphoses : marchands, religieux, petits commerçants juifs, paysans, anciens ouvriers, routiers, chacun peint par son parler autant que par son visage. Le voyage du jeune garçon est court. Pour quelques jour...(Lire la suite)

Cette correspondance parue pour la première fois en France aux éditions Grasset en 1947, révèle la proximité artistique de deux des plus grands écrivains russes. En 1898, Tchekhov est déjà un auteur d'une oeuvre impressionnante, tandis que Gorki, presque du même âge et de la même origine sociale, a mené une vie dissolue. Entre les beuveries et la prison, il n'a rien écrit de notable et n'est qu'u...(Lire la suite)