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Oedipe, qui boitait en marchant ; Méduse, qui pétrifie, tout comme la vision d'une personne handicapée peut nous saisir ; le poète Joe Bousquet, paralysé à la suite d'une blessure de guerre et qui vécut trente ans couché dans une chambre aux volets clos ; Kenzaburô Oé, dont toute l'oeuvre est traversée par l'expérience d'être père d'un enfant handicapé ; Richard III, le bossu séducteur et tyranni...(Lire la suite)

Éloge des pères / Simone Korff-Sausse

Éditeur : Hachette littératures,

" Il n'y a plus de pères... " Et quand on parle de ce père justement, c'est en termes négatifs : il est absent, manquant, inconsistant. Il démissionne, prend la fuite, ne tient pas son rôle... S'il est présent, tendre, attentif, on le traite de papa poule, le voyant comme un double ou, pire, un concurrent de la mère. Pauvre père ! Quoi qu'il fasse, ça ne va jamais. A' croire que tout le monde a l...(Lire la suite)

Oedipe, qui boitait en marchant; Méduse, qui pétrifie, tout comme la vision d'une personne handicapée peut nous saisir; le poète Joë Bousquet, paralysé à la suite d'une blessure de guerre et qui vécut trente ans couché dans une chambre aux volets clos; Kenzaburô Oé, dont toute l'oeuvre est traversée par l'expérience d'être père d'un enfant handicapé; Richard III, le bossu séducteur et tyrannique;...(Lire la suite)

Un homme est attaché à un arbre, avec sa mule en train de pourrir au soleil. Il ressasse les événements qui l'ont mené là, à cette scène centrale, obsédante, ramènent tous les autres épisodes du roman. Devant les rumeurs d'un soulèvement militaire dans un village de montagne, deux clans se sont formés. Les tensions, pourtant, convergent toutes vers Braulio, l'usurier, qui s'est rempli les poches ...(Lire la suite)