Votre recherche 5434 résultats

La littérature du XVIIe siècle a peu sollicité les critiques de l'imaginaire, si l'on excepte les tragédies de Racine et les Contes de Perrault et de Mme d'Aulnoy. L'imagination créatrice s'y est pourtant déployée aussi bien dans la poésie lyrique que dans les œuvres soucieuses de vraisemblable ou dans la floraison du merveilleux. La plupart des vingt-cinq essais réunis dans le présent volume s'i...(Lire la suite)

Notre corps, c'est nous-même, il faut bien y faire attention. C'est avec lui que nous pensons, parlons, bougeons et aimons. Parfois des adultes ne le respectent pas, certaines caresses sont interdites. Il ne faut pas les laisser faire et en parler aussitôt à une personne en qui on a confiance. Personne n'a le droit de nous toucher si nous ne le voulons pas. Mais les bons gros câlins bien tendres ...(Lire la suite)

Enfin une réédition augmentée de ce titre à succès (paru en 2004 et épuisé). De nouveaux chapitres encore plus drôles et corrosifs ! Un pastiche de nos écrivains actuels les plus connus : BHL, Marc Levy, anna Gavalda...

Ce volume 44 de la collection Modernités forme un diptyque avec le volume 42 (Ecritures de l'énergie). En effet, ce second volet de notre programme de recherche consacré à l'énergie dans la littérature concerne maintenant l'énergie au niveau de la lecture. L'action de la lecture, au double sens de l'action effectuée par le lecteur dans sa lecture, et de l'action effectuée par la lecture sur le le...(Lire la suite)

Quel est le point commun entre Jacques le Fataliste et Le journal de Bridget Jones ? L'humour, assurément. Qu'il soit comique et potache à la manière d'Alphonse Daudet dans son Tartarin de Tarascon, absurde avec La cantatrice chauve d'Eugène Ionesco ou encore cynique à la façon de David Lodge dans Changement de décor. l'humour existe sous une infinité de formes et c'est ce que vous propose de déc...(Lire la suite)

Grandir, cela ne veut pas dire abandonner, laisser tomber tous ses projets, comme si on devenait quelqu'un d'autre. Un grand, ce n'est pas un petit qui a enterré ses rêves, ses passions, ses idées. Un grand, un vrai grand, c'est un grand qui fait grandir ses projets, et qui, maintenant qu'il est grand, fait tout pour les réaliser. Ces grands-là, ils donnent aux petits l'envie de devenir grands.

Nous pouvons refuser les contraintes, les obligations, nous pouvons être obsédés par la liberté, ne penser qu'à garder notre liberté, à en avoir le plus possible. Mais nous pouvons aussi l'utiliser pour faire des choix qui nous font découvrir des plaisirs, des joies, des gens... Et alors la liberté devient un moyen, un moyen de construire notre bonheur, un bonheur dont nous sommes responsables.

" Comprenez qu'il est bien sûr interdit d'aider l'un ou l'autre des belligérants. Vous n'êtes autorisés à utiliser la force qu'en situation de légitime défense. Dans ce cas, vous devez utiliser le minimum de force nécessaire, ne recourir qu'en dernière extrémité à vos armes à feu. " En replaçant le lecteur au cœur de ces périodes difficiles de notre histoire, les Romans de la Mémoire, fondés sur ...(Lire la suite)

A la fin du XIXe siècle, une bande d'insolents jeunes gens vient secouer l'ordre établi. Ils se donnent comme noms les Vilains Bonshommes, les Zutistes, les Hydropathes, les Fumistes, les Hirsute ou les Incohérents, ils fréquentent les alentours du Quartier latin et du Chat Noir montmartrois. Dans leur sillage, un volcan d'inventivité fait éruption, balayant sur son passage les institutions, la f...(Lire la suite)

Réveillonner avec Alphonse Daudet et Kessel, admirer la crèche de Giono, assister à la distribution des cadeaux avec Dostoïevski et comploter avec Alphonse Allais, Dieu et le père Noël... Entre émotion et poésie, grincements de dents et éclats de rire, succombez à la magie de Noël. Un petit livre à offrir ou à se faire offrir !

Pauvre diable ! Le voici qui tombe sur un os ! Le simple mortel à qui il est venu proposer son odieux marché n'a pas d'âme... Comment donc pourrait-il s'en emparer ? Ailleurs, le sac d'âmes qu'il tente d'emporter est si lourd qu'il lui faut trouver l'aide d'un saint homme pour le soulever... Le diable n'est pas seul à souffrir... Et les dix nouvelles ici réunies proposent bien d'autres sortilèges...(Lire la suite)

En faisant les courses, Calinours a dépensé tout son argent. Mais pourquoi son panier est-il à nouveau vide ?

Il était une fois une belle endormie et un prince charmant qui passait par là... Pardon ? Vous pensez connaître la suite ? Pour réveiller la dormeuse, selon vous, un simple baiser fera l'affaire ? Ce que vous ignorez encore, c'est que la belle était plus haute qu'un arbre et que sa bouche était si grande que le prince ne savait où donner des lèvres. Il lui était impossible de la secouer et encore...(Lire la suite)

Il existe d'autres mondes / Pierre Bayard

Éditeur : les Éd. de Minuit,

A suivre la théorie des univers parallèles, que prennent de plus en plus au sérieux les physiciens, je ne suis pas seulement en train d'écrire ce livre, mais aussi de diriger un orchestre symphonique, de mener une enquête à Scotland Yard et de faire l'amour avec une star de cinéma. Il est étonnant qu'une théorie aussi stimulante, illustrée par un grand nombre d'écrivains comme Dostoïevski, Naboko...(Lire la suite)

Pressé, pressée / Bernard Friot

Éditeur : Milan poche,

Elle, c'est la grande sœur. Lui, c'est son petit frère. Il leur arrive des histoires, de drôles d'histoires courtes, des histoires pressées. D'ailleurs, elle est souvent pressée, elle aussi. Pressée de rire, de tricher, de râler. Pressée de grandir.

Il ne fut pas long, en effet, à découvrir qu'en mariant ces nouveaux sons à ses " ou ", ses " i " et autres " a ", il ouvrait un champ infini de combinaisons qui ne tardèrent pas à lui donner le vertige. Il n'était pas loin de la panique, lorsqu'il articula un inimaginable " keskimariv ". Sapiens prend un jour conscience des limites du misérable " wroumpf " qui lui sert à communiquer avec sa trib...(Lire la suite)

Rien à déclarer ? / Sylvaine Jaoui

Éditeur : Rageot,

Comment ça, rien à déclarer ? Si, justement, j'ai beaucoup de choses à déclarer ! Mon amour que j'aimerais avouer à Thibault... La découverte de celui qui a causé un énorme scandale au lycée... Sans parler de ma curiosité pour l'irrésistible Italien qui travaille sous les fenêtres de ma chambre, à la maison bleue...

Chef de chantier, chef d'orchestre, rédacteur en chef, chef de secteur, chef de rayon, chef de bande, chef d'État, chef d'entreprise, chef de bord... Incroyable, le nombre de chefs ! Et souvent, les chefs ont des chefs, et les chefs des chefs ont des chefs, et les chefs des chefs des chefs ont encore des chefs. On aime être chef, pas de doute là-dessus.

Les parents de Nina ont un restaurant et sont trop occupés pour partir en vacances cet été. Alors, pour se distraire, toute la famille se rend au ciné-manoir voir Le Film qui rend fou. Mais il se passe des choses bizarres dans la salle et tout à coup Nina découvre son frère et ses parents sur l'écran. Elle les rejoint et vit des vacances de rêve à la mer jusqu'au moment où elle se réveille.

Les postmodernes ont érigé la littérature en une sorte de genre suprême, dont la philosophie et la science ne seraient que des espèces. Chacune des trois disciplines aurait aussi peu de rapport avec la vérité que les autres ; chacune se préoccuperait uniquement d'inventer de bonnes histoires, que nous honorons parfois du titre de " vérités " uniquement pour signifier qu'elles nous aident à résoud...(Lire la suite)