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Un matériau réfractaire se définit par un point de fusion élevé, une haute dureté, une faible vitesse d'évaporation et la résistance à certains milieux corrosifs. Ainsi en va-t-il de l'écrivain réfractaire : sa propension à l'insoumission le rend résistant à toute forme de conformisme et ses écrits demeurent imperméables à l'usure du temps. Voici donc une anthologie subjective, partiale, voire de...(Lire la suite)

Vous allez enfin tout savoir sur les détails intimes, croustillants et émouvants de la vie de nos grands écrivains : caractéristiques physiques, animaux de compagnie, lieux de résidence, vie sexuelle, secrets de famille, tics, obsessions, phobies etc... Ce petit ouvrage aurait très bien pu s'appeler "Miscellanées" mais nous lui avons préféré un titre emprunté à un magazine encyclopédique très en ...(Lire la suite)

De Villon à Devos, cent et une plumes ont fait valser la langue et secoué les mots de la tribu. Plumes malicieuses ou turbulentes, saccageuses ou friponnes, hilarantes ou aventurières, rassemblées dans ce florilège égoïste et drolatique. C'est Patrice Delbourg qui bat les cartes de ce grand jeu des 7 familles : Les tueurs à gags : prescripteurs de pastilles contre l'amertume, de toutes les matièr...(Lire la suite)

Si la plume érotisée d'un Houellebecq, d'une Angot ou d'une Despentes fait aujourd'hui s'envoler les tirages, qui imagine Alphonse Daudet, l'auteur des Lettres de mon moulin, raconter à Flaubert, lors d'un dîner chez Zola : " Il me faut pour jouir, contre ma chair, La chair de deux femmes, l'une que je manie et l'autre qui mange le derrière de celle que je tripote " ? Mystérieuse, sulfureuse, fan...(Lire la suite)

"La séance est ouverte !" Qu'elles aient emporté l'adhésion ou indigné leur auditoire, les plumes qui se succèdent dans ce volume - Lamartine, Tocqueville, Hugo, Césaire - furent aussi des voix, éloquentes, qui marquèrent l'histoire politique française. Sur la liberté de la presse, le bilan de la Seconde Guerre mondiale ou le colonialisme, douze écrivains prennent la parole dans l'hémicycle...

A quoi ressemble l'Académie française en 1863 ? La dernière décennie du Second Empire est une vraie période creuse : ministres tombés, gloires déchues, auteurs passés de mode, tranquilles opposants de principe au régime en place... A part Victor Hugo et Mérimée, elle ne déborde pas de génies. Barbey d'Aurevilly est un écrivain qui se délecte à dépeindre toutes les nuances de la médiocrité. L'Acad...(Lire la suite)

Je voudrais ici, tout de suite, dire et répéter avec force que le second tome est très loin de signifier un second choix. Je n'allais pas tirer toutes mes cartouches d'un coup, dès le premier assaut. Je gardais pour la suite quelques biscuits de réserve et des trésors encore cachés. La méthode suivie dans ce deuxième volume est la même que dans le premier : présenter en quelques mots l'écrivain e...(Lire la suite)

Des mots qui tuent " Il y a des mots aussi meurtriers qu'une chambre à gaz ", écrit Simone de Beauvoir pour expliquer son refus de soutenir le recours en grâce de Brasillach, condamné à mort et exécuté en 1945. Peut-on tout dire ? Et à quel prix ? Les écrits des intellectuels ayant collaboré avec l'occupant (Maurras, Rebatet, Céline, etc.) sont ici examinés à la loupe. Comment la justice de la Li...(Lire la suite)

J'aime les livres. Tout ce qui touche la littérature - ses acteurs, ses héros, ses partisans, ses adversaires, ses querelles, ses passions - me fait battre le coeur. Le triomphe du Cid m'enchante. La " petite société " autour de Chateaubriand et de cette raseuse de Mme de Staël m'amuse à la folie. La mort de Lucien de Rubempré me consterne comme elle a consterné Wilde ou le baron de Charlus. Et, ...(Lire la suite)

De l'affaire Deyfus à la fin des années 1960, on ne compte plus les écrivains qui ont incarné en France la figure de l'"intellectuel", celui qui s'engage dans la cité en mobilisant son pouvoir symbolique. On pense tout de suite à Zola. Mais aussi à Aragon, à Malraux, à Sartre, à Simone de Beauvoir, et à tant d'autres. Autrement dit, d'abord aux écrivains de gauche ou, à tout le moins, réputés "pr...(Lire la suite)

Saviez-vous que Proust était un amateur de bordels ? Que Michaux collectionnait les lettres de refus ? Que Colette avait ouvert un institut de beauté avec des cosmétiques qu'elle fabriquait elle-même ? "A l'aide de trois anecdotes, on peut faire le portrait d'un homme", écrivait Nietzsche. Loin d'être insignifiantes, ces petites histoires, drôles ou émouvantes, révèlent le vrai visage des écrivai...(Lire la suite)

Christian Authier en est convaincu : il y a de la place pour un dictionnaire de littérature française loin des sentiers battus et résolument contemporain. Guidé par le goût et la curiosité qu'il exerce depuis quelque vingt ans de critique et d'écriture, il nous invite au vagabondage. Dans ces trouvailles d'un promeneur solitaire, il y a les auteurs morts trop tôt (Frédéric Berthet, Jean-Marc Robe...(Lire la suite)

Voyages dans le temps et l'espace, ces vagabondages suivent les pérégrinations parisiennes de quelques écrivains illustres. Abandonnant aux érudits le commentaire de leurs chefs-d'oeuvre pour se consacrer à la baguenaude en compagnie de ses auteurs favoris, Jean-Paul Caracalla sillonne les lieux de leurs promenades, accompagne leurs visites, leurs déménagements, tente de discerner les motifs sent...(Lire la suite)

Un usage aussi vieux que l'Académie française impose à tout candidat d'écrire au Secrétaire perpétuel pour formuler sa demande et tenter de plaider sa cause. Des milliers de lettres, pour la plupart inédites, se sont ainsi accumulées dans les archives de l'Institut de France. On trouvera ici les plus belles. Elles composent à la fois une chronique de la vie littéraire, un manuel d'éloquence et un...(Lire la suite)

J'aime les livres. Tout ce qui touche la littérature - ses acteurs, ses héros, ses partisans, ses adversaires, ses querelles, ses passions - me fait battre le cœur. Le triomphe du Cid m'enchante. La " petite société " autour de Chateaubriand et de cette raseuse de Mme de Staël m'amuse à la folie. La mort de Lucien de Rubempré me consterne autant que Wilde ou le baron de Charlus. Et, j'aime mieux ...(Lire la suite)