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Frédéric II Staufen (1194-1250), l'empereur qui stupéfia le monde, selon les mots d'un chroniqueur contemporain, exerça son pouvoir dans une époque riche en mutations. Au cours d'un règne tumultueux, il déploya des qualités qui le placent parmi les souverains les plus fascinants de toute l'histoire médiévale occidentale. Héritier des rois normands de Sicile et des souverains germaniques, ce mona...(Lire la suite)

Marmont : le maudit / Franck Favier

Éditeur : Perrin, Impr. Floch

Dans l'épopée napoléonienne, il fallait, comme dans toute aventure christique, un Judas. Ce fut Marmont, duc de Raguse. Si Marmont partagea avec Bernadotte, Murat ou encore Augereau une réputation de traîtrise, justifiée ou non, le dernier survivant des maréchaux du Premier Empire (mort en 1852) resta écrasé par ce qu'on a appelé la "défection d'Essonnes" et servit de bouc émissaire à l'échec fin...(Lire la suite)

Une adolescence / Frédéric Mitterrand

Éditeur : Robert Laffont,

"Et voici qu'après tant d'années je n'arrive toujours pas à choisir entre le général de Gaulle et François Mitterrand ! J'ai tenté à plusieurs reprises de sortir d'un tel dilemme pour comprendre ce que je n'ai pas encore compris. Comme lorsque j'ai écrit ce texte, il y a longtemps, que je l'ai relu, repris à tel point qu'il est devenu un autre mais sans en modifier le ton car il se lit avec les m...(Lire la suite)

Les lettres qu'on n'a pas écrites, les baisers pas donnés, les mains pas tendues : le temps n'efface rien. Nos mémoires sont pleines de ces petites lâchetés, omissions, négligences, sarcasmes... Ces choses qu'on ne peut dire, d'ordinaire, que de soi à soi. Inventaire de remords ? Examen de conscience ? Frédéric Mitterrand met à nu cinquante ans de cinéma, de politique, d'amitiés et d'amours perdu...(Lire la suite)

Il existe des souvenirs minuscules comme on parle de vies minuscules. Frédéric Vitoux se souvient de cette " assiette du chat " , objet de disputes entre son frère, sa soeur et lui, au tout début des années 50. Aucun des trois enfants ne voulait cette assiette pour lui, au prétexte qu'elle aurait servi, quarante ans plus tôt, au chat qui avait colonisé l'appartement, du temps de leur grand-père. ...(Lire la suite)

La mauvaise vie / Frédéric Mitterrand

Éditeur : R. Laffont,

" Un homme se penche sur son passé. Le passé ne lui renvoie que les reflets d'une mauvaise vie, bien différente de celle que laisse supposer sa notoriété. Autrefois on aurait dit qu'il s'agissait de la divulgation de sa part d'ombre ; aujourd'hui on parlerait de "coming out". Il ne se reconnaît pas dans ce genre de définitions. La mauvaise vie qu'il décrit est la seule qu'il a connue. Il l'a gard...(Lire la suite)

Chopin / Franz Liszt ; préface de Pierre Brunel

Éditeur : Archipoche, Impr. CPI

Frédéric Chopin (1810-1849) ne connaissait pas de meilleur interprète de ses Etudes que son ami Franz Liszt. Dès sa mort, oubliant les querelles du passé, celui-ci entreprend de "faire parler son affliction sur sa pierre sépulcrale". Son livre, "remarquable sous le rapport du style et de la fantaisie" (Théophile Gautier), paraît en 1851. Liszt y défend l'enfermement de Chopin "dans le cadre exclu...(Lire la suite)

" Les pianos Pleyel sont non plus ultra. " Chopin n'a cessé de confirmer cette affirmation de 1831 par une fidélité au facteur et à sa manufacture. Celui dont l'instrument est le moyen de communiquer avec d'autres mondes, avec lui-même, avec autrui, le lieu tactile et sonore où s'incarne son improvisation, lieu de l'envol de sa création sans cesse remise sur le métier, a trouvé en Camille Pleyel ...(Lire la suite)

" Les pianos Pleyel sont non plus ultra. " Chopin n'a cessé de confirmer cette affirmation de 1831 par une fidélité au facteur et à sa manufacture. Celui dont l'instrument est le moyen de communiquer avec d'autres mondes, avec lui-même, avec autrui, le lieu tactile et sonore où s'incarne son improvisation, lieu de l'envol de sa création sans cesse remise sur le métier, a trouvé en Camille Pleyel ...(Lire la suite)

"Le début de ma vie au Sénégal, jusqu'à mes sept ans environ, s'est passé dans une relative insouciance. La réalité alentour sur laquelle, toi, mon père, tu régnais, constituait ce que l'on appelle un monde. Chaque moment du jour et chaque période de l'année obéissait à un emploi du temps cosmique : l'école, les repas, les déplacements, les devoirs, les heures de jeu avec les voisins de mon âge, ...(Lire la suite)